Homélie de la nativité de la Vierge Marie (2024)
Jn3, 13 à 17
Car personne n’est monté au ciel, sinon celui qui est descendu du ciel, le Fils de l’homme. Et de même que Moïse a élevé le serpent dans le désert, ainsi faut-il que le Fils de l’homme soit élevé, afin qu’en lui tout croyant ait la vie éternelle ; car Dieu a tant aimé le monde qu’Il lui a donné son Fils Unique, afin que tout homme qui a foi en lui ne périsse pas mais possède la vie éternelle. Car Dieu n’a pas envoyé son Fils dans le monde pour juger le monde, mais pour que le monde, par lui, soit sauvé.
Lc10, 38 à 42
Comme ils étaient en chemin, Il rentra dans un certain village, et une femme du nom de Marthe Le reçut dans sa maison ; sa sœur, qui s’appelait Marie, s’était assise aux pieds de Jésus pour écouter sa Parole. Or Marthe, qui se multipliait pour les soins du service, se dressa tout à coup devant Jésus et Lui dit : “Maître, cela ne Te fait rien que ma sœur me laisse seule pour faire le service ? Dis-lui donc de venir m’aider !” Le Seigneur lui répondit en disant : “Marthe, ô Marthe, tu t’agites et tu t’inquiètes pour un grand nombre de choses, mais une chose seulement est nécessaire. Quant à Marie, elle a choisi la meilleure part : elle ne lui sera pas ôtée !”
Lc11, 27 à 28
Comme Il parlait ainsi, une femme éleva la voix du milieu de la foule et Lui dit : “Bienheureuses les entrailles qui T’ont porté, et les mamelles que Tu as sucées !” Et Lui répondit : “Bien plus heureux encore ceux qui écoutent la Parole de Dieu et qui la gardent”.