Homélie du 8 ème dimanche après la Pentecôte (2024)
Jn 6, 55 à 69
Ma chair est vraiment une nourriture et mon sang est vraiment un breuvage ; celui qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi, et moi en lui. De même que le Père, le Vivant, m’a envoyé, et que je suis vivant par le Père, ainsi celui qui me mange vivra par moi. Tel est le pain descendu du ciel : il n’est pas comme celui que vos pères ont mangé, et ils sont morts ; celui qui mange ce pain vivra éternellement”.
Voilà ce qu’Il dit lorsqu’Il enseignait dans la synagogue de Kapher-Naoûm. L’ayant entendu, beaucoup de ses disciples dirent : “Cette parole est dure ! Qui peut l’entendre ?” Mais Jésus, sachant en Lui-même que ses disciples murmuraient à ce sujet, leur dit : “Cela est-il pour vous un obstacle qui fait trébucher ?
Et si vous contempliez le Fils de l’homme montant là où il était d’abord… C’est l’Esprit qui vivifie, la chair ne sert de rien, les paroles que je vous ai dites sont esprit et vie ; mais il en est parmi vous quelques-uns qui ne sont pas certains de la vérité”. Car Jésus savait dès le commencement quels étaient ceux qui n’auraient pas la foi, et qui était celui qui Le livrerait. Et Il dit : “Pour cette raison, je vous ai dit que nul ne peut venir à moi si cela ne lui est donné par le Père”. Dès ce moment, beaucoup de ses disciples s’en allèrent et ne Le suivirent plus. Jésus donc dit aux Douze : “Et vous, voulez-vous partir aussi ?” Simon-Pierre Lui répondit : “Seigneur, vers qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle, et nous, nous croyons avec certitude et nous confessons que Tu es le Saint de Dieu”.
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