Homélie du 2ème dimanche de carême (2024) La guérison du Paralytique
Mc 2, 1 à 12
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Comme Il était revenu à Kaphar Naoûm après quelques jours, on apprit qu’Il était là, dans une maison ; et il s’y rassembla tant de monde qu’on ne trouvait plus de place, même devant la porte ; et Il leur annonçait la Parole. On Lui amena un paralytique porté par quatre hommes. Et comme ils ne parvenaient pas à L’approcher, à cause de la foule, ils démontèrent le toit au-dessus de l’endroit où Il était et, ayant ouvert un trou, ils firent descendre le grabat sur lequel gisait le paralytique. Jésus, voyant leur foi, dit au paralytique : “Enfant, tes péchés te sont remis”. Or étaient assis là quelques-uns des scribes, qui se dirent dans leur cœur : “Comment Celui-ci parle-t-ll ainsi ? Il blasphème. Qui donc peut remettre les péchés, sinon Dieu seul !” Et aussitôt Jésus, sachant dans son esprit qu’ils se tenaient en eux-mêmes un tel langage, leur dit : “Pourquoi dialoguez-vous ainsi dans vos cœurs ? Qu’est-il plus aisé de dire au paralytique : « Tes péchés te sont remis », ou bien de dire : « Lève-toi, et prends ton grabat et marche » ? Eh bien ! Vous saurez que le Fils de l’homme a sur terre le pouvoir de remettre les péchés”. Et Il dit au paralytique : “Je te le dis : lève-toi, prends ton grabat et rentre chez toi !” Et il se leva et aussitôt, prenant son grabat, il sortit à la vue de tous, de sorte que tous étaient stupéfaits et glorifiaient Dieu en disant : “Jamais nous n’avons rien vu de pareil !”
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